edouard philippe mon pote de droite episode 1

Maisquelle histoire ! » dit Edouard Philippe à la fin de l'épisode 2 Il faut dire que personne ne s'attendait à ce qu'il devienne Premier ministre, ni nous, ni lui c'est pourtant ce qui est arrivé et France3 diffuse le mercredi 10 août 2016 à 23 h 25 Édouard : mon pote de droite, qui retrace en 82 minutes la face cachée de la campagne municipale d’Édouard Philippe au Havre, en 2014. LeHavre : Edouard est un copain de lycée et a 45 ans, c'est un professionnel aguerri de la politique : il est de droite tendance Juppé. Je le filme depuis plus de 10 ans. Pendant l'hiver Ledeuxième volet de la série de Laurent Cibien suit Edouard Philippe pendant la primaire de droite (2015-2016) et montre à quel point le "séisme" Macron a pris tout le monde de court. Edouardest un copain de lycée du réalisateur. A quarante-cinq ans, c'est un professionnel aguerri de la politique : il est de droite tendance Juppé. Laurent Cibien le filme depuis plus de dix ans. Site De Rencontre Quel Est Le Meilleur. Cet article date de plus de quatre ans. Publié le 15/05/2018 2245 Mis à jour le 16/05/2018 0137 Durée de la vidéo 2 min. France 2 Article rédigé par Le réalisateur Laurent Cibien a réalisé un documentaire intitulé "Édouard, mon pote de droite", un portrait sur le nouveau Premier ministre Édouard Philippe. Il sera diffusé ce mardi 16 mai à 23h10 sur France 3. Peu de monde connaît le nouveau locataire de Matignon. Son camarade d'école a réalisé un documentaire sur le nouveau Premier ministre. Un portrait intime et étonnant qui permet de mieux cerner la personnalité d'Édouard Philippe. Laurent Cibien a suivi son "pote de droite" pendant trois mois durant la campagne des municipales en 2014. L'ami "gauchiste" du nouveau Premier ministre réalisera un documentaire de 1h26 en 36 jours. Édouard, mon pote de droite, est une "réflexion sur le pouvoir". À noter que le film a bénéficié d'une sortie en salles le 23 mars 2016. Laurent Cibien et Édouard Philippe ont été élèves ensemble au lycée Janson-de-Sailly, en Khâgne, en 1989-1990. Si l’un, de gauche, et l’autre, de droite, se sont perdus de vue, ils ont renoué en 2004 à l’initiative du journaliste Les sujets du JT Jérôme Cahuzac l'ancien ministre pourrait échapper à la prison Témoignage le policier qui a fait face au terroriste Gaza interrogations à propos de méthodes de l'armée israélienne Prêts immobiliers les Français nombreux à emprunter pour devenir propriétaires Immobilier les prix des logements flambent à Berlin Comment Air France peut-il sortir de la crise ? Air France "Il ne nous était pas possible de céder", affirme Janaillac Emploi la "Garantie Jeune" est un succès Emploi le diplôme fait la différence chez les jeunes Crimée un pont symbole de l'annexion par la Russie La Réunion les scientifiques surveillent l'éruption du Piton de la Fournaise À propos du JT L'équipe de la semaine Rédaction en chef Elsa Pallot Rédaction en chef-adjointe Sébastien Renout, Anne Poncinet, Arnaud Comte Résponsable d'édition Delphine Moninot Joker Karine Baste L'équipe du week-end Rédaction en chef Franck Genauzeau Rédaction en chef-adjointe Irène Bénéfice, Willy Gouville, Jean-François Monier Résponsable d'édition Jean-Louis Gaudin Joker Thomas Sotto Abonnement Newsletter le JT de 20h Tous les jours, recevez directement votre JT de 20H Abonnement Newsletter France Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters. articles sur le même thème Wargon, Castex, Buzyn, Castaner... Comment l'Elysée assure le recasage des figures de la macronie Ils ont fait l'actu. Les confidences de Roxana Maracineanu, ex-ministre des Sports, battue aux législatives Législatives 2022 "Vous trouvez que j'ai une tête de frondeur, moi ?", plaisante Édouard Philippe avec Élisabeth Borne en Normandie Politique la crise des Gilets jaunes et ses effets sur la relation entre Édouard Philippe et Emmanuel Macron Vidéo Nouveau gouvernement "On ne m'a rien proposé et ça me va très bien !", confie l'ancien Premier ministre Edouard Philippe à France 2 Vu d'Europe Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français. Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. à voir en streaming sur la 5 La caméra a remplacé la plume d’oie. L’interviouve s’est substitué au panégyrique. Le chroniqueur se fait documentariste, mais en réalité, il n’est qu’un agent communiquant qui sert à fabriquer le roman d’Edouard Philippe ». On n’est jamais mieux servi que par soi-même. Travail de potes ». Tous deux ne sont pas dupes et se marrent bien. Les films sont remarquablement bien ficelés, et le héros » très bien mis en valeur, avec ses qualités et ses défauts. Pas de problème, Edouard Philippe est l’un des meilleurs représentants de la droite intelligent, faux modeste, rieur, bosseur, taquin, respectueux du personnel et de son entourage où les copains et amis constituent une garde rapprochée. Il a compris qu’aujourd’hui, une personnalité politique d’envergure se doit d’avoir une équipe sur laquelle il peut compter. Ce qu’il faut toutefois avoir à l’esprit, c’est que chaque entretien dure entre 20 minutes et une heure, et constitue une oasis » dans l’emploi du temps de dingue » d’un premier ministre. Or, nous n’en voyons que trois minutes. Cela suppose un très beau travail de choix, de tri, de complicité. On ne me fera pas croire que M. Laurent Cibien aurait carte blanche pour réaliser ce qu’il a envie de réaliser en toute liberté. Ne serait-ce que par amitié, il doit montrer son travail à son pote » AVANT de le diffuser. Personnellement, j’aimerais bien avoir accès aux rushes. Non pas qu’il y ait du croustillant, quoique… L’ironie d’Edouard aurait tôt fait de ses propos des philippiques » quant aux collaborateurs et collaboratrices qu’on lui a imposés. L’image qui en ressort, c’est celle d’un homme anxieux, désireux de faire au mieux pour… la France. Mais quelle France ? On ne pantoufle pas chez Areva et ailleurs impunément. Son attachement au Havre est sincère, c’est le berceau de sa famille paternelle. Et un ancrage en province est indispensable à qui se construit une carrière politique à long terme. Le Havre-Rouen les deux ports de Paris, ouverts sur le monde. Quel symbole ! On aura remarqué la division entre vie publique et vie privée. Cloisonnement. On voit que cet anxieux digère le stress et les couleuvres à coups de poing après s’être rongé les ongles. Cet intellectuel, fils d’intellectuels, tente d’expliquer, non sans raison qu’à la place où il est, il se trouve les mains dans le cambouis et qu’il doit sans cesse donner des ordres, choisir, orienter, décider à un rythme fou et qu’il n’a guère le temps de penser, ce qu’il regrette. Donc, il demeure sur ses convictions et celles que lui ordonne le Président de la République, bébé-Rothschild. J’ai peur que nos dirigeants ne soient aliénés par la vitesse à laquelle leur arrivent les événements qu’ils ne peuvent plus maîtriser. La tyrannie du smartphone est en train de tuer la politique, tout comme celle de la communication. A quoi riment ces déplacements perpétuels, ces dépôts de gerbes à l’autre bout de la France, à ce Tour de France des villes moyennes au moment des campagnes électorales si ce n’est à donner l’illusion que l’on est partout, compatissants, proches du peuple MAIS souvent un peuple trié sur le volet, ou tenu éloigné par les forces de répression ? Il faut donner de l’image. Combien d’ouvriers à l’Assemblée Nationale ? » Eh oui ! La majorité de godillots » ne représente pas la réalité du peuple français. Résultat d’une Constitution qu’il serait urgent de changer. Mais le pote de gauche n’a guère eu l’autorisation d’évoquer ce problème. A-t-il été abordé ? Donner de l’image, c’est ce que révèle cette série » de Laurent Cibien. Du coup, on attend le prochain épisode, qui devrait être tournée à l’Elysée. On est près de "House of Cards" et pour le moment loin de "Games of Throne". Quoique… Nul ne connaît l’avenir et E. Philippe le sait, ce qui rassure. Tout en avouant qu’il craint l’ennui. Mais, si le freluquet se représente, il attendra cinq ans de plus. Il est jeune. Mais, en dix ans, il peut se passer tant d'évènements ! A SUIVRE ! Le réalisateur Laurent Cibien suit le premier ministre depuis ses débuts en politique. Alors qu'Édouard Philippe s'apprête à quitter Matignon, la saga continue. “Édouard, mon pote de droite” “Voici Laurent, un affreux gauchiste qui est aussi mon ami. Il tourne un documentaire sur moi depuis dix ans dans l’espoir que je devienne quelque chose”. Quand Édouard Philippe prononce ces mots, il n’est pas encore Premier ministre. Emmanuel Macron n’est même pas candidat à la présidence de la République et Alain Juppé est toujours le chouchou des sondages. Nous sommes en 2016, en pleine primaire de la droite bombardé porte-parole de son mentor, Édouard Philippe présente à l’équipe de campagne de Juppé son “pote de gauche”, Laurent Cibien. De gauche, mais pas tout à fait inconnu au bataillon des proches du député de droite voilà une décennie que le réalisateur et grand reporter suit l’ascension politique de son copain d’enfance. Une expérience documentaire entamée quand l’actuel premier ministre était encore totalement absent des radars médiatiques et qui a déjà débouché sur un premier doc surprenant “Édouard, mon pote de droite”, tome un d’une fresque au long cours sur le pouvoir dans la France contemporaine, centré sur la conquête de la mairie du Havre en 2014 par le jeune Édouard Philippe, alors encore glabre et dont rien ne permettait de prédire le singulier destin politique. “Au début, je lui demandais surtout Comment est-ce possible d’être de droite?′ Une question que je trouve toujours valable aujourd’hui. Et puis j’ai vu la manière dont il construisait son parcours politique et c’est devenu un projet sur la fabrique du pouvoir”, raconte au HuffPost Laurent Cibien depuis les États-Unis. “Il finira bien par se lasser de moi”, lui répond Édouard Philippe dans le second volet de cette série diffusée ce mardi 15 mai sur France3, à l’occasion du premier anniversaire de la nomination d’Édouard Philippe à Matignon. Centré cette fois-ci sur la campagne malheureuse d’Alain Juppé à la primaire de la droite, ce film en annonce un troisième, initialement baptisé “Aux manettes” [et dont on attend la date de sortie], puisque la caméra de Laurent Cibien n’a pas cessé de suivre Édouard Philippe après son arrivée surprise au gouvernement. “Il n’y a pas d’Édouard secret parce qu’il est bien dans ses baskets” Ce changement de décor n’a pas changé le projet ni les deux hommes qui le composent “Je ne suis pas journaliste politique, je ne suis pas dans l’actu. Je travaille sur le temps long. Au Havre comme à Matignon, c’est pareil”, glisse le documentariste dont le regard sur son “pote de droite” n’a pas été bouleversé non plus par son parcours météorique. Portrait plus que chronique électorale, ce “pote de droite” déroute autant par ses imitations de Chirac que par son franc-parler. Stratège, goguenard, volontiers blagueur, Édouard Philippe s’y dévoile moins par ses rares confessions que par ses agacements. Comme quand il s’irrite de se voir reprocher dans une réunion publique son diplôme d’énarque, lui le bon élève, petit-fils de docker qui a gravi un à un les échelons de la droite juppéiste avant de se mettre En Marche!. “Ce que je vois, c’est quelqu’un d’assez centré. Il n’est pas double-face. Contrairement à ce qu’on me dit parfois, il ne montre pas une image construite. Je crois qu’il n’y a pas d’Édouard secret parce qu’il est plutôt bien dans ses baskets”, résume Laurent Cibien qui filme Édouard Philippe là où il se rend disponible une voiture entre Paris et Le Havre, son bureau de l’Assemblée, une réunion publique, sa salle de boxe. Entre eux, un pacte de confiance et une amitié singulière, “avec une caméra au milieu”. Sans complaisance, cet épisode II de “Édouard mon pote de droite” n’est ni particulièrement flatteur pour son sujet ni marqué par la fascination de la victoire. ” La défaite de Juppé, c’était presque mieux qu’une victoire en matière de dramaturgie”, assume Laurent Cibien. Quand on lui demande si cela lui plairait de poursuivre son oeuvre jusqu’à l’Élysée, le réalisateur balaye l’hypothèse d’un revers de tasse à café “Qu’Édouard gagne ou perde, cela m’est égal. Je n’ai pas misé sur un cheval, mais sur l’itinéraire d’un homme. Au fond, il aurait pu traverser un désert, cela m’aurait tout autant intéressé”. Prophéties incomplètes Si ce second volet du documentaire n’est pas politicien, la marche vers l’Élysée s’y dessine néanmoins à petits traits, en arrière-plan. Entre un coca et deux plateaux télé, le futur chef du gouvernement prophétiserait presque sans s’en rendre compte. “Choisir son patron ce n’est pas un acte neutre”, dit-il à propos du maire de Bordeaux, qui lui a mis le pied à l’étrier de l’UMP. Évidemment, chaque téléspectateur pensera à Macron. Car derrière les affres de la campagne d’Alain Juppé, partie sur les chapeaux de roues et percutée dans la dernière ligne droite par le rouleau compresseur Fillon, plane ici et là l’ombre de l’ascension du futur président de la République. “Je l’aime bien Emmanuel, individuellement. Je suis à peu près d’accord sur tout avec lui. Mais je ne crois pas du tout à ses chances”, lâche crânement Édouard Philippe alors que François Hollande n’a pas encore renoncé à se représenter. Mais l’élu juppéiste n’écarte pas qu’un jour les libéraux pro-européens, de gauche comme de droite, puissent se retrouver pour gouverner le pays. “Macron est moins libéral que moi. Mais je me dis qu’il n’est pas impossible qu’un jour, quand je ne sais pas, vous ayez une partie de la droite qui se dise on va faire avec le Front national le même calcul que Mitterrand avec les communistes’; et puis de l’autre côté, chez ceux qui sont plutôt pro-européens, plutôt libéraux, il y a des correspondances assez fortes [qui se retrouvent] dans une partie du PS, une partie de la droite”. Du macronisme avant l’heure et à l’envers. Une lecture anachronique dont s’amuse beaucoup Laurent Cibien lorsqu’il retient cette ultime séquence au montage. Affalé sur un canapé devant un écran de télé, Édouard Philippe se moque de Manuel Valls, alors chef du gouvernement de François Hollande “Il est de plus en plus marqué Manolo ça doit être dur d’être Premier ministre”. À voir également sur Le HuffPost À cause du remaniement, l’Assemblée obligée d’arrêter ses travaux en pleine séance Abonnez-vous Dans le documentaire "Edouard, mon pote de droite" sur France 5, un entretien filmé à la fin de l'année 2018 a subjugué les téléspectateurs... © DR Ce dimanche 4 juillet, France 5 diffusait en prime time le troisième et dernier épisode du documentaire Edouard, mon pote de droite. Filmé par son ami d'enfance Laurent Cibien pendant dix ans, il a été suivi par sa caméra pendant sa campagne au Havre en 2014, lors de la primaire chaotique de la droite en 2016 où il soutenait Alain Juppé et après son arrivée à Matignon en à ce poste de Premier ministre qu'était consacré ce troisième épisode d'une durée de trois heures. Régulièrement interviewé par le réalisateur dans son bureau, Edouard Philippe était interrogé vers la 50ème minute à propos du départ de Nicolas Hulot, qui avait quitté le ministère de la Transition écologique et solidaire, déçu de ne pas pouvoir agir pour la planète comme il l'entendait. Un échec considérable pour Emmanuel Macron et son gouvernement, qui a été commenté de manière plus que surprenante par le chef de ce dernier."Sur le réchauffement climatique, ça peut arriver de se dire peut-être que dans 5, 10, 20 ou 30 ans, on va me reprocher de ne pas avoir assez agi à ce moment-là, parce que c’était le moment de prendre des décisions. Tous les jours je pense ça, mais pas seulement sur ce sujet-là. Je me dis peut-être que dans cinq ans, on me reprochera de ne pas avoir augmenté les efforts dans la recherche médicale, parce qu’il y aura un virus qu’on n’a pas vu venir", avait déclaré Edouard Philippe à l'automne 2018 voir la séquence en fin d'article, ndlr, ignorant que cette crainte était malheureusement en réalité une intuition quasi-prémonitoire. S'il n'évoque pas une pandémie, savoir que le nouveau coronavirus est né deux ans plus tard a laissé les internautes sans voix...Il aurait dû prendre le pari..!— Cflo CfloDev July 4, 2021 Le documentaire de France5tv sur EdouardPhilippe est un incroyable instrument de propagande pour rendre ce type sympa, humain et avec des valeurs. Ça prépare doucement 2027 — Maréchal Guillaume Marech52 July 4, 2021 Hugo Mallais L'ancien Premier ministre fait une troublante déclaration dans le troisième volet du documentaire “Édouard, mon pote de droite”. POLITIQUE - C’est la séquence marquante du troisième volet de la série documentaire Édouard, mon pote de droite, diffusé ce dimanche 4 juillet sur France 5. Dans cet épisode intitulé Aux manettes, une séquence filmée en 2018, bien avant le début de la pandémie de Covid-19, lui donne aujourd’hui un écho troublant. Alors qu’il est interrogé par le réalisateur du documentaire, Laurent Cibien, sur sa responsabilité politique sur les enjeux environnementaux, voici ce qu’il répond Cette séquence, à regarder dans le tweet ci-dessous, a interpellé plusieurs internautes, alors que le virus SARS-CoV-2 se propage dans le monde depuis le début de l’année 2020. Après l’épisode 1, Le Havre, marqué par le début de carrière du maire du Havre qui dormait sur la moquette de son bureau et écoutait du rock entre deux coups de fil à sa fille ou à des personnes à virer de sa liste municipale; après l’épisode 2, Primaire, consacré à la primaire de la droite quand Édouard Philippe était le porte-parole d’Alain Juppé; l’épisode 3, Aux manettes, diffusé ce dimanche soir, retraçait les trois années de l’ancien Premier ministre à Matignon. Si certains téléspectateurs trouvent intéressante cette plongée au cœur du pouvoir, d’autres émettent des critiques et y voient un outil de propagande politique. À voir également sur Le HuffPost Quand Philippe raconte comment il apprend la démission de Hulot

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