au moins j aurai laissé un beau cadavre
LaSociété Protectrice des Animaux (SPA) de Charleroi le constate régulièrement. Elle en a encore été témoin le 14 juillet dernier. “Trois chats dans un état pitoyable, des cadavres de
Oudu moins il se faisait appeler ainsi. Il était jusqu’au week-end un cadavre sur une civière, sans la moindre ride sur son beau visage, attestant sa jeunesse. L’indicible Ses camarades de travail, les coins de café où il s’attablait pour manger n’ont pu ni retracer son histoire ni découvrir son nom de famille. A croire qu’il
Aumoins j'aurai laissé un beau cadavre d'après Hamlet de Shakespeare, mis en scène par Vincent Macaigne, 9-18 juillet 2011, cloître des Carmes, création au Festival d'Avignon. Le spectateur arrive in medias res : les comédiens sont déjà sur scène, chantent, dansent, frappent des mains et vous invitent à les rejoindre. Le rituel a déjà commencé dans le cloître des
Unincendie a tout ravagé ; Il y a eu un concert de hard rock ; Il ne s’est rien passé depuis plus de 100 ans ; L’équipe de France de football a perdu ; Il y a eu une coulée de lave ; Un cyclone a tout ravagé ; Un géant est passé par là » La boîte que vous avez amenée est le lieu de l’événement que vous avez choisi.
VincentMacaigne en janvier 2014. Vincent Macaigne, né le 19 octobre 1978 à Paris, est un acteur, metteur en scène, auteur de théâtre et réalisateur français . Au théâtre, il crée l'événement au festival d'Avignon 2011 avec une adaptation de Hamlet intitulée Au moins j'aurai laissé un beau cadavre .
Site De Rencontre Quel Est Le Meilleur. VINCENT MACAIGNE Au moins j’aurai laissé un beau cadavre Ouaoh ! Autant le dire tout de suite, ce Macaigne a les cojones bien arrimées ! Et sa troupe, bande furieuse de comédiens sous speed, n’a rien à lui envier… Le Cloître des Carmes accueille jusqu’au 19 juillet cette version étourdissante du Hamlet, un théâtre absolument brutal, inouï, et brut de décoffrage, tel que devait sans doute le pratiquer le grand William avec ses acteurs du Londres élisabethain. Et ça déménage ! Au plateau, totalement bordélique, envahi d’une quantité de trucs improbables distributeurs de boissons au lointain, fosse pleine d’eau boueuse au proche, publicité lumineuse de fête foraine sur laquelle on lit ici il n’y aura pas de miracles »… un bateleur de foire, digne des camelots du XVIe, expert de la harangue et de la retape sans complexe, ouvre ce Beau cadavre par son adresse ultra-cocainée à un public qui s’installe à peine. Et c’est parti pour trois heures de théâtre fulgurant, truculent, hénaurme, une performance hallucinée, à bout de souffle, dont personne ne sortira indemne, pas plus le public que les comédiens survitaminés et infiniment shakespeariens. Une bande de dingues purs qui produisent un show radical, un théâtre de tréteaux quelque part entre les Monthy Python et Rabelais… Un truc monstrueux, en vérité. Superbes comédiens, au demeurant, parfaitement raccords avec le délire mégalomaniaque du metteur qui ne leur épargne rien. Merveilleuse bande de fous qui pourraient très bien avoir fourbi leurs premières armes à la Royal Shakespeare Company, tant leur puissance de jeu et leur gouaille est impressionnante. Ce Macaigne-là est un vrai chantier, un bazar in progress mais savamment réglé, où paradoxalement rien ne doit vraiment être laissé au hasard. De la scénographie délirante mais on ne dévoilera rien aux performances déclamatoires et physiques des comédiens, de l’amoncellement de trouvailles scéniques et d’accessoires, à l’impeccable direction d’acteurs, tout dans la mise en scène de Macaigne est d’une maîtrise absolue. Puisant à l’origine du premier Hamlet, ce conte danois qui avait inspiré le grand Will, cette orgie barbare de sang et de théâtre, de cadavres et d’excès en tous genres, ce Shakespeare sauce Macaigne est un monstre de théâtre de foire, d’une consanguinité absolue, et d’une férocité réjouissante. Une farce en direct de l’Enfer, où une bande de fous sanguinaires s’entretuent pour le plaisir, baisent comme des bêtes et boivent comme des soudards. Au milieu de ces malades survoltés, un Hamlet hystérique et mégalo, un animal violent définitivement hors-normes qui se joue dans le sang et le stupre de la folie des hommes. Théâtre-gigogne, comme toutes les grandes oeuvres de Shakespeare, ce Hamlet-là est aussi une fabuleuse allégorie du théâtre, une réflexion poussée à l’extrême sur la quête de représentation de l’innommable, de l’immontrable. Du monstre. Une tragédie par bêtise », comme le dit si bien Vincent Macaigne, que cette fable parfaitement immorale et terriblement juste, qui nous ramène à la chair, à la brutalité féroce de la chair, et à la violence originelle de l’homme. Magistral. Marc Roudier Au moins j’aurai laissé un beau cadavre / Vincent Macaigne / Cloître des Carmes / s’est joué du 19 au 29 juillet à h. Prochaines dates du 2 au 9 novembre 2011 Théâtre National de Chaillot / du 16 au 25 novembre 2011 MC2 – Grenoble / du 5 au 6 janvier 2012 La Filature – Mulhouse / du 11 au 12 janvier 2012 L’Hippodrome – Douai Photo Christophe Raynaud De Lage
Posted on 4 novembre 201127 mai 2021 La Parafe Spectacles 6 Comments Au moins j’aurai laissé un beau cadavre » de Vincent Macaigne à Chaillot S’il y a un reproche que l’on ne peut pas adresser à Vincent Macaigne, c’est de faire les choses à moitié. Dans Au moins j’aurai laissé un beau cadavre, d’après Hamlet de Shakespeare, le jeune metteur en scène va jusqu’au bout dans l’excès et dans l’épuisement des énergies. On ressort de là en en ayant pris plein la face et avec le désir de hurler à notre tour. Lire la suite
Hamlet ou la rage au ventre. Après sa vision et son interprétation brillantes de L’Idiot, Vincent Macaigne s’est attaqué à présent au géant Shakespeare. Les cotillons, les serpentins, le sang, un château fantômatique, une tombe liquide de boue viennent accentuer la narration. Ici, Macaigne présente un Hamlet passionnel et dévoré par la folie des autre, mais pas uniqument. Vincent Macaigne prétexte Hamlet et décrit le monde. Sur le coup, le spectateur se voit assailli, saturé de sons, de couleurs, d’effets de lumière et de mise en scène. Des images s’accrochent à l’esprit et s’y gravent. Le public est partagé quoi? les scènes sont coupées? le texte n’est pas respecté? Sur le coup de la passion toute théâtrale, on y voit une succession de tableaux infinis, de sons, de beuglements, une saturation de bande-sons, de couleur, de sang; enfin de trop d’effets de mise en scène restaient en bouche, ou plutôt en vue, un goût écoeurant de trop plein, d’indigestion sonore et visuelle. Au travers de cette création à part entière il a retravaillé également avec l’univers du conte ayant inspiré Shakespeare le metteur en scène montre cette violence qui parcourt notre monde. Il égrène ainsi les insultes, apostrophe et malmène son public. Le spectacle se veut à part entière et les scènes présentées sont bien vivantes et obsédantes. Ici, il s’agit d’existence en scène, de vie que l’on peut littéralement toucher du doigt. Contrairement à ce que l’on aurait pu dire au sortir de la pièce et hormis le jeu de certains comédiens, le souvenir six mois après est celui d’une mise en scène époustouflante. Une véritable expérience serait-ce celle de l’existence ? Comme quoi les souvenirs permettent d’aimer un beau cadavre jugé trop rapidement décomposé à la sortie de la pièce. La question se pose de ce qui finalement constitue la valeur d’un spectacle ou d’une mise en scène? Trop d’artifices turait l’artifice et pourtant, le souvenir de cette pièce demeure magistrale, hante les esprit à l’image de la détestation qu’elle a pu provoquer sur le moment de la représentation. Est-ce donc le souvenir ? Les images qui affleurent ou un embellissement du souvenir? ou le pari de mettre en scène la vie et non pas la énième mise en scène d’Hamlet de Shakespeare?
VINCENT MACAIGNE aura laissé un beau cadavre NOTRE CHOIX dans le programme du Festival Vincent Macaigne / AU MOINS J’AURAI LAISSE UN BEAU CADAVRE Vincent Macaigne est actuellement au Cloître des Carmes, en pleine répétition de sa pièce Au moins j’aurai laissé un beau cadavre » créée pour le prochain Festival d’Avignon. Vibrionnant, le jeune metteur en scène promet une vision iconoclaste et délirante du Hamlet, revisité avec toute la fougue et l’inventivité qu’on lui connaît. Présentation Vincent Macaigne se veut vivant, aujourd’hui, à tout prix. Vivant pour lutter contre la gratuité des actes qui surfent sur les modes d’un jour et sur le consensus mou qui nous englue dans l’acceptation de l’inacceptable. En choisissant de travailler sur l’Hamlet de Shakespeare, mais aussi sur celui du conte original présent dans une chronique danoise du XIIIe siècle, il tente de pénétrer les mystères de cette figure mythique en établissant un dialogue sans a priori avec ce jeune prince, considéré ici comme un artiste désireux d’agir sur le monde. Pas de brumes romantiques, pas de spectre mystérieux, pas de folie envahissante comme seule clé de compréhension du personnage d’Hamlet. Pour le jeune metteur en scène, la complexité de l’oeuvre et du héros ne doit aucunement être effacée, dissimulée, ni même réduite à quelques monologues célèbres. C’est donc la chair, plus que la représentation des idées et des intentions, qui sera présente sur le plateau du Cloître des Carmes, la chair souffrante qui engendre le geste violent de celui qui va jusqu’au sacrifice de lui-même. Le grotesque de situations exagérées y aura également sa place, puisque ce grotesque est emprunt d’innocence et de vérité. Revendiquant sa liberté d’artiste pour construire sa propre vision d’Hamlet, empruntant à tous les auteurs rencontrés au fil de ses lectures, Vincent Macaigne compose, avec ses acteurs, un grand poème dramatique où chaque phrase doit s’entendre dans sa plénitude, dans sa force, mais aussi dans ses conséquences. Les mots, proférés plus que prononcés, sont des armes tranchantes qui doivent atteindre profondément ceux qui les entendent. Car il ne s’agit pas de divertir, mais de rendre compte d’un état de colère. La colère des enfants qui subissent l’héritage de leurs aïeux, le courroux de ceux qui redoutent l’âge adulte qu’ils pressentent comme celui de la trahison des engagements et des rêves. Partagé entre espoir et désespoir, Au moins j’aurai laissé un beau cadavre est une nouvelle fable, brutale et impolie, derrière laquelle point un pamphlet bienvenu, questionnement sans complaisance sur l’état de l’art théâtral en ce début du XXIe siècle. C’est dans les prémisses du XVIIe siècle que Shakespeare 1564-1616 écrit et met en scène La Tragédie d’Hamlet, prince du Danemark. Il s’inspire pour cela d’un texte de François de Belleforest publié en 1576, lui-même nourri d’une chronique danoise du XIIIe siècle, La Gesta Danorum, due au moine écrivain Saxo Grammaticus. C’est sans doute la pièce la plus mystérieuse du génial dramaturge anglais et, depuis le début du XIXe siècle, la plus jouée. Jean-François Perrier Au moins j’aurai laissé un beau cadavre » / Cloître des Carmes / du 9 au 19 juillet relâche le 14 /
International Les cadavres ont été découverts à l’intérieur d’un camion près de San Antonio, à 240 km de la frontière mexicaine, selon les médias locaux. Les corps d'au moins 51 personnes ont été découverts lundi dans un camion près de San Antonio, au Texas sud des États-Unis, selon plusieurs médias locaux, un moyen de transport fréquemment utilisé par des migrants souhaitant entrer aux États-Unis. Charles Hood, chef des pompiers de la ville, a précisé que seize blessés – douze adultes et quatre enfants – avaient été pris en charge et étaient conscients » lors de leur transport vers des services de soins. Parmi les victimes, il y a 22 Mexicains, 7 Guatémaltèques et 2 Honduriens, les autres nationalités sont inconnues, selon le président mexicain Andres Manuel Lopez tragédie, l'une des pires en matière migratoire ces dernières années, intervient cinq ans après un drame similaire dans la même ville, où dix clandestins avaient perdu la vie dans une remorque surchauffée. Nous sommes confrontés ce soir à une horrible tragédie humaine », a commenté Ron Nirenberg, maire de San Antonio. Nous espérons que les personnes responsables d'avoir placé ces gens dans de telles conditions inhumaines seront poursuivies dans toutes les limites de la loi. » Le drame a été qualifié d' absolument horrible » par un porte-parole de la Biden a appelé, dans un communiqué, à lutter contre le trafic criminel, pesant plusieurs milliards de dollars, qui exploite les migrants et coûte beaucoup trop de vies innocentes ». Les premières informations sont que cette tragédie a été causée par des […] trafiquants qui n'ont aucune considération pour les vies qu'ils mettent en danger et exploitent pour en tirer profit », a encore fait savoir selon ce texte le président américain, qui se trouve à Madrid où il participe à un sommet de l' LIRE AUSSIBaverez – Guerre en Ukraine les habits neufs du non-alignementTrois personnes interpelléesLes camions tels que celui retrouvé à San Antonio, à environ 240 km de la frontière avec le Mexique, sont un moyen de transport fréquemment utilisé par des migrants souhaitant entrer aux États-Unis. Un tel voyage est extrêmement dangereux, d'autant que ces véhicules sont rarement climatisés et que leurs occupants en viennent rapidement à manquer d'eau. Les patients que nous avons vus étaient brûlants au toucher, ils souffraient de coups de chaleur, d'épuisement dû à la chaleur, on n'a pas trouvé trace d'eau dans le véhicule », a énuméré le chef des charnier a été découvert par un individu travaillant non loin, qui a entendu un appel au secours » et s'est approché pour voir de quoi il retournait, a raconté le chef de la police de San Antonio, William McManus, lors de la conférence de presse. Trois personnes ont été interpellées, a-t-il précisé, mais nous ne savons pas si elles sont absolument liées à ceci ou non ». L'enquête, désormais fédérale, a été confiée aux enquêteurs du ministère de la Sécurité intérieure, a précisé William 60 pompiers ont été mobilisés pour prendre en charge les dépouilles et vont recevoir un accompagnement psychologique, a précisé leur chef Charles Hood. On n'est pas censés ouvrir un camion et y trouver des piles de corps », a-t-il dit pour expliquer le traumatisme auquel ses hommes ont été gouverneur du Texas accuse BidenLe ministre mexicain des Affaires étrangères Marcelo Ebrard a regretté sur Twitter une tragédie » et a indiqué que le consul mexicain, bien qu'on ne connaisse pas les nationalités » des victimes, se rendait sur place. Le gouverneur républicain du Texas Greg Abbott s'est immédiatement saisi du drame pour en rejeter la faute sur le président démocrate Joe Biden. Ces morts sont [de la responsabilité de] Biden. Elles sont le résultat de sa politique mortelle d'ouverture des frontières », a-t-il attaqué. Tragedia en Texas. Asfixiados en la caja del trailer según se informa. Cónsul en ruta al punto. Condolencias a las víctimas y sus familias. Aún no conocemos nacionalidades. — Marcelo Ebrard C. m_ebrard June 28, 2022 À LIRE AUSSIDevant la presse, Biden mis au défi de l'immigrationLes arrivées de migrants clandestins ont fortement augmenté après l'élection de Joe Biden, bien que ce dernier tente depuis son arrivée à la Maison-Blanche d'endiguer l'afflux migratoire en confiant notamment cet épineux dossier à sa vice-présidente Kamala Harris. En 2017, une tragédie similaire avait marqué les esprits dix migrants avaient trouvé la mort dans une remorque surchauffée garée sur un parking près de San l'époque, les services de l'immigration avaient indiqué que la température dans la remorque, où des dizaines de migrants avaient pris place, avait pu grimper jusqu'à 65 °C. Le conducteur du camion, qui avait affirmé ne pas avoir remarqué qu'il transportait une centaine de personnes dans sa remorque, a été condamné en avril 2018 à la perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement États-Unis au moins 51 corps sans vie découverts dans un camion 1 Commentaire Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
au moins j aurai laissé un beau cadavre